Les soins décrits sur ce site et proposés en cabinet sont de par leur nature, énergétiques, naturels et complémentaires de la médecine conventionnelle.
En aucun cas ils ne se substituent à un traitement médical.
Si vous avez un traitement en cours, vous devez impérativement le poursuivre. Toutefois, vous pourrez si nécessaire, demander à votre médecin de l’adapter, suite aux transformations intervenues dans votre corps, au fur et à mesure des séances.
Les troubles des plans subtils
I – APPROCHE DES PLANS SUBTILS
En énergétique, au-delà des apparences,
matière, énergie et information
ne font qu’un.
■ 1 – Matière et énergie
Parler des plans subtils, revient en quelques sortes à parler de l’énergie, c’est-à-dire de « quelque chose » d’abstrait et d’invisible.
Ce que la science nous dit de l’énergie, c’est qu’elle se présente communément sous forme d’onde, d’où sa nature vibratoire.
Par ailleurs, la recherche scientifique sur l’infiniment petit nous apprend que la matière, n’est pas telle que nos cinq sens la perçoivent.
• Zoom sur la matière : voyage au cœur d’une bûche de bois
Qu’il s’agisse des matières solides (dans notre exemple, le bois) ou liquides, des tissus vivants, des gaz visibles ou non, tout n’est qu’un assemblage de molécules, elles même formées d’atomes qui sont constitués à 99,99 % de vide.
Mais si cette bûche de bois, visible et bien tangible, est donc une incroyable concentration d’énergie, qu’est-ce qui lui permet pourtant d’avoir cet aspect solide ?
Cela résulte de ce que l’on nomme en physique, les interactions, c’est-à-dire ici les forces électromagnétiques, d’attraction et de gravitation, qui, sans empêcher le mouvement à l’intérieur des atomes, lient ces derniers entre-eux, assurant ainsi la cohésion de la matière.
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C’est la nature électrique des atomes (noyau «+» et électrons «-») qui explique non seulement ces interactions, mais aussi le rayonnement électromagnétique de la matière.
En effet, toute matière émet un signal électromagnétique, même si cela est habituellement imperceptible.
L’électricité statique en est une illustration : en fonction des éléments avec lesquels nous entrons en contact par frottement (vêtements synthétiques, sièges auto en tissu, moquette, etc.), des transferts de centaines d’électrons se font à chaque instant, de la matière vers notre corps, le chargeant négativement.
Le corps cherchera alors à rétablir sa neutralité électrique dès que possible, d’où le phénomène peu agréable de petites décharges électriques ressenties, lors du contact, par exemple, avec une poignée métallique.
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⇒ Matière et énergie sont finalement deux manifestations différentes de la même réalité.
■ 2 – Information
► Qu’entend-on par “information” ?
Au sens étymologique du terme (du latin informare), l’information est ce qui donne une forme, une structure.
Par ailleurs, elle transmet aussi des connaissances, des renseignements.
L’information désigne à la fois le message à communiquer et les symboles (codes, signaux, oraux ou écrits, sonores, visuels ou audiovisuels, etc.) qui servent à exprimer celui-ci.
Elle est à la base de la communication, des échanges, dans les systèmes dans lesquels elle circule.
Le concept d’information n’est pas le même d’un domaine à un autre. Suivant la perspective dans laquelle on se place, il lui est accordé des propriétés très différentes.
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• L’information en physique
A ce jour, en l’absence de validation scientifique à ce sujet, la physique “traditionnelle” réfute toute théorie établissant l’information, au sein d’un système physique.
Néanmoins, depuis le 20ème siècle, cette notion d’information fait régulièrement polémique, au sein des comités scientifiques, car de plus en plus de physiciens, théoriciens scientifiques, chercheurs, dans le monde (Niels Bohr, Tom Stonier, John Archibald Wheeler, Michel Le Bellac, parmi les plus anciens) défendent l’idée que l’information est justement un concept fondamental de la physique, au même titre que l’énergie, la matière, l’espace et le temps.
D’autre part, la découverte de la structure en double-hélice de l’ADN en 1953, n’a fait que renforcer l’idée dans de nombreux milieux scientifiques, de la nécessité de l’information, à côté de l’intrication de la matière et de l’énergie, pour expliquer l’émergence de la vie.
• L’information en biologie
La biologie établit le fait que toutes les cellules du vivant communiquent en permanence entre-elles et avec leur environnement, via des structures moléculaires, mais aussi par signaux reçus/émis (chimiques ou électriques), messagers (hormones-neurotransmetteurs-phéromones-etc.), jonctions communicantes, récepteurs, etc..
Ici, l’information est moléculaire et du domaine essentiellement de la génétique.
• L’information dans les technologies
Ici, l’information dont il est question est en rapport avec des domaines extrêmement variés (personnels, professionnels, culturels, etc.).
Elle nécessite d’être codée, normalisée, afin d’être transmise sous forme d’un signal, d’une source à un destinataire, via un canal de transmission (câble électrique, fibre optique, onde électromagnétique, etc.).
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• L’information en énergétique
En énergétique, on ne peut concevoir l’énergie, sans l’information.
Dans cette approche, l’information coordonne l’énergie et l’énergie est le vecteur de l’information.
La notion d’information peut s’appréhender de façon très schématique, à partir de l’exemple des technologies actuelles de communication : si la matière était l’appareil (ordinateur, tablette, téléphone, etc.) et l’énergie, l’électricité nécessaire à son fonctionnement / rechargement, alors l’information serait les logiciels, les applications et la base de données.
Plus subtilement, on peut dire tout d’abord de l’information, qu’elle parait inhérente aux processus de la création, dans le sens où elle met en forme la matière , elle l’in-forme, elle l’ordonne.
Dans cette dimension, elle est imprégnée d’une forme d’intelligence “qui sait” et qui avec l’énergie, produit la vie, donne sa structure au vivant, en assure son développement, etc.
Ensuite, on peut la concevoir également comme l’information « produite et acquise » au fur et à mesure de l’existence : en effet, à travers nos multiples expériences, dès la vie intra-utérine, nous enrichissons notre esprit, nos cellules, d’une multitude d’informations, qui chaque instant, façonnent notre être et notre devenir.
⇒ L’information semble donc essentielle, transversale et plurielle.
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■ 3 – Les ondes
Une onde est un phénomène vibratoire qui se propage.
- Bien qu’invisibles, les ondes sont partout.
Pourquoi ?
Parce qu’il s’agisse de la lumière, de l’air, de l’eau, de la matière (inerte ou vivante, naturelle ou fabriquée, et quelle que soit sa forme), tout dans notre univers est constitué d’atomes, à l’intérieur desquels, une vibration permanente (oscillation périodique rapide) existe.
Certes, ramenée à l’échelle d’un seul atome, cette vibration est proportionnellement infinitésimale.
Mais, il faut savoir que par exemple, dans un simple clou en fer de 6 grammes, il y a le “modeste” total d’environ 60 mille milliards de milliards d’atomes de fer.
Cela laisse imaginer combien d’atomes peuvent être présents dans le corps humain et par conséquent, la génération d’ondes correspondante…
En énergétique : vibration ⇒ propagation d’ondes ⇒ possibilité d’émission et de réception d’informations.
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- Deux types d’ondes
a – Les ondes artificielles
Il s’agit des ondes électromagnétiques (EM) générées par les activités humaines : liées aux besoins en fourniture d’énergie électrique et de transport d’informations.
Elles sont portées par les photons et évoluent de façon transversale, selon une double sinusoïde. Elles ont été découvertes par Heinrich Hertz.
b – Les ondes naturelles
Plusieurs sortes d’ondes sont émises naturellement (bénéfiques ou non, selon les cas).
On peut citer les ondes EM liées à la matière, aux cellules, celles émises par la lumière, les couleurs visibles et invisibles (infra-rouge, ultra-violet, etc.), celles liées aux rayonnements cosmo-telluriques, les ondes gamma du sous-sol, les ondes de forme, etc.
Et puis, il y a les ondes scalaires.
► Focus sur les ondes scalaires
Découvertes par Nikola Tesla (Ingénieur scientifique, 1856-1943), elles ont été dénommées ainsi à la suite de recherches approfondies, par le Pr Konstantin Meyl (Professeur allemand de la Physique des champs).
Ces ondes évoluent de façon longitudinale et se déplacent en vortex.
Elles sont principalement portées par les neutrinos (suggérés en 1930 par W. Pauli et reconnus scientifiquement en 2002 seulement).
Ce sont des particules élémentaires de charge neutre et de masse très faible, non constitutifs de la matière, mais apparents dans la transformation des atomes.
Les neutrinos proviennent essentiellement du soleil et du cosmos, traversent l’humain et tout ce qui existe sur la planète.
Les ondes scalaires ont les particularités suivantes :
– elles sont très pénétrantes, pour preuve, elles traversent les cages de Faraday, ce qui n’est pas le cas des ondes EM vectorielles,
– elles sont captées par résonance, par des antennes de même forme (ex : l’ADN, les protéines, dont la forme est hélicoïdale),
– la puissance de l’onde scalaire n’est pas diminuée par la distance, celle-ci au contraire la renforce (à l’inverse d’une onde EM vectorielle, telle que l’onde radio).
Dans cette catégorie, on trouve les ondes sonores (nature mécanique) ainsi que les ondes émises et reçues par tous les systèmes vivants (nature électrique).
► Les cellules : émettrices et réceptrices d’ondes
Dans le monde du vivant, la cellule est considérée comme l’unité de base.
Le corps humain en comptent des milliards.
Chacune génère environ 100 000 réactions chimiques par seconde.
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La biologie nous apprend que ces réactions chimiques entre atomes et molécules, expliquent la tension électrique présente dans le corps humain, dont la propagation se fait par signaux/impulsions électriques.
Cette électricité, indispensable au fonctionnement de l’organisme (division cellulaire, circulation sanguine, activité neuronale, musculaire, etc.) est mesurable :
ainsi, l’activité électrique du cerveau est visible sur l’électroencéphalogramme, celle du cœur, sur l’électrocardiogramme, etc.
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Par ailleurs, à la lumière des recherches et publications réalisées à ce jour, par des scientifiques de plusieurs pays, il apparaît que l’ADN se trouvant dans chaque cellule, se présente comme un véritable émetteur/récepteur, tant de photons (dits ici biophotons – selon les découvertes notamment du Pr Fritz-Albert Popp ) que de neutrinos (selon les découvertes notamment du Pr Konstantin Meyl).
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Selon ces études :
– l’interférence, entre les ondes électromagnétiques (portées par les biophotons) et les ondes scalaires (portées par les neutrinos), est à la base d’une communication cohérente et codée entre les cellules, tant en interne, que des cellules vers l’environnement extérieur au corps.
– ces émissions/réceptions de lumière, aussi ténues soient-elles, entrent en résonance entre-elles et créent un champ informatif complexe et ordonné, depuis la molécule à l’organisme tout entier.
– il en est ainsi de tout organisme vivant.
■ 4 – L’humain et les plans subtils
Nous l’avons vu, la matière est de l’énergie concentrée, à laquelle en énergétique, nous associons l’idée d’information.
L’humain, en tant que corps physique doté d’un psychisme (pensées / émotions / conscience), évolue alors dans différents plans vibratoires, intimement liés aux fonctions vitales et activités psychiques, de son organisme.
Ces plans vont du plus dense (vibrations lentes et basses) lorsqu’il s’agit du corps physique, aux plus subtils (vibrations rapides et hautes), lorsqu’il s’agit des corps invisibles, dits corps énergétiques.
A ces plans qui lui sont propres, s’ajoutent ceux des personnes avec lesquelles il est en lien, mais aussi les énergies des animaux, végétaux, lieux, objets, etc.
D’autre part, nous l’avons évoqué plus haut, le vivant est également soumis aux influences des ondes électromagnétiques artificielles (liées aux activités humaines) et naturelles (ex : cosmiques, telluriques, etc.).
Dès lors, quel que soit son milieu, tout ce qui vit, évolue en permanence dans des champs d’énergie, qui s’intriquent et s’influencent les uns les autres.
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II – LES TROUBLES DES PLANS SUBTILS
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En médecine traditionnelle chinoise, la maladie est généralement interprétée comme la manifestation dans le corps physique, d’un état dysfonctionnel de la circulation énergétique.
Concernant les plans subtils, il en va de même. Si l’énergie ne circule pas librement et de façon fluide, une dysharmonie peut s’installer progressivement.
Un organisme dans lequel les énergies circulent correctement, rétablit généralement de lui-même une perturbation ponctuelle, due par exemple, à une contrariété, une forte émotion ou à un déséquilibre environnemental.
En effet, dans ce cas, ses ressources énergétiques sont suffisantes pour que puissent s’opérer en lui, les réajustements permanents, nécessaires à l’état d’équilibre (homéostasie), si cher au vivant.
Dans le cas contraire, si l’organisme manque de ressources énergétiques, du fait de la maladie, de la fatigue, du stress, etc., alors un déséquilibre persistant (personnel ou environnemental) risquera d’attirer d’autres déséquilibres.
Ainsi, en vertu, de la loi de résonance, qu’il s’agisse d’un être humain ou d’un lieu, une vibration globale non correcte prédispose à l’attraction de situations de même vibration.
Les énergies des lieux aussi peuvent comporter des perturbations et/ou mémoires.
Cela peut créer une atmosphère électrique ou de froid, de morosité, de lourdeur, etc., ou propices à la répétition de conflits, échecs et autres situations négatives.
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► Les soins sur les troubles des plans subtils
Différentes techniques existent pour corriger les perturbations présentes dans les plans subtils, qu’il s’agisse des humains, animaux ou des lieux, objets, situations, relations, etc.
Me concernant, je réalise ces soins dans un état méditatif “actif” , car c’est dans cet état vibratoire qu’il m’est possible de canaliser les énergies et d’entrer en conscience avec différentes sphères informationnelles.
Je n’accède qu’aux informations utiles pour le soin et lorsque seulement, cela a un sens pour aider à la résolution d’une problématique.
Les découvertes réalisées par la physique quantique sur le comportement des particules apportent des clés d’explication sur ce que nous pouvons qualifier de décalage, entre notre perception de la réalité et ce qu’il en est d’un autre point de vue, c’est-à-dire dans des espaces-temps qui vibrent différemment.
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