Comprendre les troubles physiques et psycho-émotionnels
Approche énergétique
■ A chaque instant, le corps humain doit composer avec des énergies et des informations …
La médecine traditionnelle chinoise considère l’humain comme vivant entre ciel et terre.
Il est le trait d’union entre les énergies yang cosmiques (ciel, air, respiration…) et les énergies yin telluriques (sol, terre, nourriture…), que tout oppose et qui en même-temps sont infiniment complémentaires.
Pour fonctionner correctement sur les plans physique et psychique, le corps doit être en phase avec une multitude d’énergies et d’informations subtiles, présentes dans la nourriture, les émotions, les personnes, les animaux, les végétaux, les lieux, etc.
Cela nécessite des ajustements permanents :
– on demande au corps de s’adapter aux changements de temps, de saisons, à l’alimentation, à l’environnement, aux pollutions, aux énergies des lieux de vie et de travail, etc.,
– on lui demande aussi, de gérer nos émotions, le stress, lié au travail, à la famille, aux relations, aux pressions de toutes sortes, etc.
Mais voilà, nous sommes tous différents, et cela commence dans nos gènes, nous n’avons pas tous les mêmes prédispositions, résistances, capacités d’adaptation.
Ainsi, certaines énergies vont pouvoir être gérées par un organisme, tandis qu’un autre ne pourra pas les tolérer, en raison de facteurs génétiques, héréditaires, mais aussi de contexte de vie, d’une plus ou moins forte exposition au stress, à la pollution, aux substances chimiques, etc.
Parmi les énergies qui conviennent à certains organismes et pas à d’autres, il y a celles en rapport avec l’alimentation, les métaux lourds, les vitamines et minéraux, les virus, bactéries, parasites, les traitements, les émotions, les liens familiaux, les lieux, etc.
Ce que le corps aujourd’hui ne parvient pas (ou plus) à tolérer, créera inévitablement demain, des perturbations, qui à leur tour, provoqueront des troubles de santé du corps et/ou de l’esprit.
■ Focus sur les intolérances alimentaires et les troubles engendrés
Une intolérance à un aliment ou à une substance n’est pas forcément liée au fait que l’on n’aime pas ou ne digère pas, l’aliment ou la substance en question, mais au fait qu’en l’ingérant, quelque chose affaiblit notre organisme (discordance), alors que l’élément est sensé lui faire du bien.
Prenons le cas d’une intolérance insoupçonnée aux aliments acides et crus, contenant de la vitamine C (ex : agrumes, tomates…) : l’intolérance générera dans le temps, du fait notamment de l’acidité, une inflammation chronique de la paroi de l’intestin, qui elle-même pourra produire une porosité intestinale, avec à la clé, fuite des nutriments, bactéries, déchets toxiques dans le sang et par la suite selon le terrain, déclaration par exemple, d’une maladie auto-immune, en réponse à la migration des substances non-reconnues dans le sang.
Ainsi, on peut souffrir d’intolérances ou de discordances, sans en avoir conscience, car contrairement aux allergies dont les réactions sont généralement immédiates et visibles ( œdème de Quincke , urticaire, vertiges,,,), elles sont plus insidieuses et se manifestent à retardement.
Par ailleurs, il arrive aussi qu’un organisme sache gérer des énergies, des aliments, des substances, etc., un certain nombre d’années et ne puisse plus le faire ensuite, par épuisement de son capital énergétique, à la suite d’un choc émotionnel ou d’un changement de vie…
Pourquoi les intolérances alimentaires (gluten, arachides, lactoses…) de nos jours se multiplient-elles ?
Loin d’être un effet de mode, ces intolérances proviennent du fait que l’organisme est de moins en moins capable, de s’adapter à l’alimentation de ces dernières années.
En cause, tout ce qui nuit à la résistance du corps ou à sa capacité d’auto-réparation : à savoir la toxicité présente dans de nombreux produits de consommation (du fait des additifs, pesticides, antibiotiques, emballages industriels…), la pollution, le stress, les ondes électromagnétiques, etc.
Des intolérances alimentaires aux symptômes
Processus schématique
d’évolution des troubles
Intolérances alimentaires
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• perturbation des fonctions intestinales de transformation et assimilation des aliments,
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• malabsorption des nutriments
• mauvaise fixation des vitamines et minéraux, etc.
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• carences
• acidification
• nouvelles éventuelles intolérances, etc.
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• dégradation de la flore intestinale (dysbiose du microbiote intestinal)
• processus d’inflammation chronique de la paroi intestinale
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• porosité intestinale (hyperperméabilité) – accrue sous l’effet du stress
→ fuite d’endotoxines dans le sang
→ réponse inflammatoire chronique
• dérèglement du système immunitaire
→ déficit immunitaire
• dérèglement de la sécrétion intestinale de neurotransmetteurs (synthèse dopamine et sérotonine), etc.
→ désordres psy
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• selon le terrain, pathologies présentant des degrés différents de gravité :
• troubles intestinaux “classiques” (ballonnements, diarrhées, constipation…)
• troubles respiratoires, allergies, eczéma, insomnie, migraines, vertiges…
• troubles de l’humeur et du comportement (stress, anxiété, dépression, phobies, addiction, …)
• autres troubles neuropsychologiques (hyperactivité, dyslexie, déficit de l’attention, autisme…)
• maladies auto-immunes (fibromyalgie, polyarthrite rhumatoïde, maladie de Crohn …)
• maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer…), etc.
Comprendre les troubles des plans subtils